"Avec le président Obama, nous avons encore davantage coordonné nos actions de renseignement et de suivi des combattants étrangers", a-t-il souligné, parlant d'une "coordination de très haut niveau".
Selon François Hollande, il s'agit de permettre au gouvernement irakien de "reconquérir l'ensemble de son territoire et notamment Mossoul", la deuxième ville du pays.
Evoquant la Libye, il a appelé à accorder une "pleine reconnaissance" au gouvernement d'union nationale formé sous l'égide de l'ONU et à "tout faire pour que la stabilité soit la priorité", informe l'AFP.
De son côté, Barack Obama a salué le rôle joué par son homologue français pour "mobiliser les Européens autour de la nécessité d'être plus efficaces dans l'échange d'informations transatlantique, éliminer les combattants étrangers, identifier les attaques potentielles et couper les sources de financement" des groupes terroristes.
"Nous sommes totalement engagés pour détruire Daech", a-t-il ajouté, évoquant de prochaines "décisions stratégiques" visant à "réduire le territoire" contrôlé par l'organisation djihadiste et à la "mettre à genoux".
Tout comme François Hollande, le président américain a également souligné la nécessité de soutenir le nouveau gouvernement Libyen pour empêcher l'EI de faire de la Libye une nouvelle "base à l'avenir".