Un journaliste allemand est parvenu à faire rire le président russe Vladimir Poutine lorsqu'il lui a dit que le bouclier antimissile créé par l'Otan était dirigé contre l'Iran et non contre la Russie.
Le dirigeant ukrainien Piotr Porochenko n'a pu retenir son rire après avoir lui-même déclaré qu'il avait pris une dizaine de décisions difficiles qu'il avait du mal à accepter.
Alexandre Loukachenko, le président biélorusse, a pour sa part beaucoup apprécié la blague racontée par le directeur d'une chaîne de télévision locale Grigory Kissel. "Loukachenko, Medvedev et Obama sont dans un bateau. Obama dit: "Je ne peux pas ramer, je suis le président d'un grand pays". Medvedev rétorque: "Moi non plus, je ne peux pas ramer car je suis aussi le président d'un grand pays". Loukachenko propose de voter.
Et voilà que la scène change: Medvedev et Obama rament alors que Loukachenko se repose. Obama dit alors à Medvedev: "Loukachenko nous a encore bien eu. Nous sommes trois mais il a quand-même réussi à obtenir quatre voix", rapporte Life News.
Après un sujet publié sur le web en 2009, les psychiatres se sont de nouveaux intéressés au cas du dirigeant géorgien Mikhail Saakachvili, dont le rire parle de lui-même. C'est à cette époque que les spécialistes ont commencé à suspecter qu'il souffrait d'une psychopathologie profonde ou d'une réaction aiguë au stress.
Le président américain Barack Obama a ri à cause de la question qui lui a été posée lors de l'émission télévisée The Daily Show. "Pour quelle équipe jouons-nous au Moyen-Orient? Qui bombardons-nous?", a demandé le comédien John Stewart.
Tout le monde se souvient du fou-rire de Bill Clinton provoqué par une traduction hasardeuse des propos du président russe Boris Eltsine. Ce dernier avait déclaré que l'Onu "s'était planté" en affirmant que la rencontre entre Eltsine et Clinton serait un flop. Et d'ajouter que finalement, le flop, c'était bien eux, les journalistes. Mais le traducteur à choisi d'interpréter ces propos de la sorte: "le désastre, c'est vous", ce qui a provoqué le fameux fou-rire du président américain.
Enfin, dans un entretien à un média syrien, le président Bachar el-Assad a ri en réponse à la demande du Conseil national syrien, lequel a exigé de lui qu'il quitte la Syrie sous 20 jours.