"Avec cet acquittement sur les neuf chefs d'accusation, le mandat d'arrêt n'a plus d'objet", a ajouté le juge Jean-Claude Antonetti: "Vojislav Seselj est donc un homme libre".
Judge Jean-Claude Antonetti begins reading judgement summary in UN war crimes trial of Vojislav Šešelj of #Serbia pic.twitter.com/ugHFXcfRka
— Balkanewz (@balkanewz) 31 марта 2016 г.
Vojislav Seselj, qui s'était défendu seul, n'était pas "le chef hiérarchique" des milices de son parti, et ne peut donc être tenu pénalement responsable des crimes commis, informe l'AFP.
L'homme était accusé par le procureur d'avoir "propagé une politique visant à réunir tous +les territoires serbes+ dans un Etat serbe homogène, qu'il appelait la +Grande Serbie+".
"La chambre a tout d'abord reconnu que la propagande d'une idéologie +nationaliste+ n'est pas en soi criminelle", a assuré le juge, accusant le bureau du procureur d'avoir présenté un dossier basé sur des "imprécisions".