"Nous savons bien que Bachar el-Assad ne peut pas être l'avenir de la Syrie", déclarait en janvier le président François Hollande lors de ses vœux au corps diplomatique. Pas étonnant, depuis le 18 août 2011, lorsque les leaders allemande, britannique et français (à l'époque Nicolas Sarkozy) ont appelé le président syrien à partir, la position de ces pays sur son maintien au pouvoir n'a pas changé. Donc de quel dialogue pourrait-il s'agir?
Toutefois, il paraît que l'avis de simples citoyens est moins catégorique, à en croire le Vote Du Jour lancé ce mardi 29 mars.
A la question de savoir si la France devrait négocier avec le leader syrien, la plupart des répondants ont donné une réponse positive.