Un chapitre supplémentaire a été considéré comme "pouvant être ouvert", a dit le président français lors d'une conférence de presse. Un responsable européen avait auparavant déclaré qu'il s'agissait du chapitre 33 sur la politique budgétaire.
"Il n'y a pas de changement ni dans la position de la France ni dans la position de l'Europe. La position de la France, c'est que négociation ne veut pas dire adhésion et que les négociations ne préjugent en rien de ce que sera le résultat", a poursuivi François Hollande, en soulignant que le processus prendra "des années".
Le président français a en outre répété, s'agissant de la libéralisation des visas pour les Turcs, qu'il faudrait de toute façon que les 72 critères prévus soient auparavant remplis, rapporte l'AFP.
Ces questions ont été soulevées à Bruxelles dans le cadre d'un accord avec la Turquie visant à régler le problème des migrants qui affluent aux frontières de l'Europe.