"Je tiens à vous dire en tant que citoyen de Syrie: nous sommes contre l'idée du fédéralisme. Nous sommes partisans de l'unité du territoire de la Syrie et de son peuple", a dit le ministre.
"Le convoi syrien avance grâce aux Syriens avec le président Bachar el-Assad à leur tête", a-t-il ajouté.
M.Mouallem a également affirmé que les succès de l'armée syrienne et l'accord sur la trêve annonçaient une fin proche de la crise en Syrie.
Si les diplomates choisissent minutieusement les termes pour parler du fédéralisme, les militaires s'attaquent au problème du front. Ainsi l'ancien commandant suprême des forces alliées en Europe James Stavridis n'y est pas allé par quatre chemins et a proposé la partition de la Syrie, à l'instar de la Yougoslavie, de la Bosnie et de l'Irak.