Selon le contre-amiral Yin Zhuo, le nouveau navire emportera plus d'armes, de chasseurs et de combustible et aura une plus grande autonomie. Il sera en outre doté d'un avion-radar, d'un avion de lutte anti-sous-marine et d'hélicoptères, tout comme le Liaoning.
Le ministère chinois de la Défense a annoncé fin décembre 2015 avoir lancé la construction du second porte-avions chinois, confirmant ainsi pour la première fois les informations à ce sujet diffusées par des médias.
Livré à l'armée chinoise en septembre 2012, le Liaoning a été nommé d'après la province du nord de la Chine où il a été rénové. Il s'agissait en fait d'un porte-avions soviétique, le Variag, rénové et réaménagé. La Chine l'avait acheté à l'Ukraine en 1998, au prix de la ferraille. Initialement, le gouvernement chinois voulait en faire un casino flottant.