Des chercheurs prient des biologistes d'étudier les "preuves" de l'existence de "babouins vivants" sur la planète rouge.
Par ailleurs, M.Waring a recueilli une véritable collection d'objets dont il prétend qu'ils ressemblent à des objets et à des créatures terrestres: des ours, des souris, des crabes, des scorpions, des animaux fossiles, des structures pyramidales et même des hiéroglyphes. Quelques visages sculptés dans la pierre font aussi partie des "preuves" recueillies par le scientifique.
Call for biologists to ‘study evidence for colony of baboons on Mars’ https://t.co/c3iM1OxfH2 pic.twitter.com/EHsFUXhg8P
— Wow News Express (@wownewsexpress) 8 февраля 2016
La dernière publication de M.Waring porte sur un objet qui pourrait s'avérer un babouin ou une autre espèce de singe, rapporte l'Express.
"Si ce n'est pas l'objet le plus inattendu sur une photo de Mars, alors je ne sais pas ce qui peut l'être. J'y ai trouvé un babouin accroupi comme s'il voulait s'asseoir sur une pierre près d'une colline. Ouais… Moi non plus je n'y pige rien. Comment est-ce possible? Je vous laisse vous débrouiller avec celle-là", a-t-il commenté.
"Il s'agit clairement d'une créature vivante — comme un babouin sur un tas de pierres dans la steppe africaine. Pourquoi diable les biologistes et les zoologistes ne regardent-ils pas cela?", s'indigne M.Waring.
Il insiste aussi pour dire que "le nombre total des preuves recueillies a déjà dépassé le seuil critique" et exige que la NASA explique son "silence". Selon l'ufologue, l'agence cache la vérité à la société.
En outre, si la NASA permet une telle fuite de photos sur Internet, elle cache vraiment des découvertes énormes sur la planète rouge, comme une base désertée ou un vaisseau spatial dont les Américains cachent l'existence par crainte que la Chine fasse main basse sur ces précieuses découvertes.
Les scientifiques rejettent ces "découvertes martiennes", les qualifiant d'illusions d'optique. Dans les rares commentaires qu'ils ont pu émettre à ce sujet, les spécialistes de la NASA rejettent ces "preuves", affirmant qu'elles sont plutôt un effet de la paréidolie, sorte de dysfonctionnement du cerveau qui consiste à associer un stimulus visuel ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.