Selon l'agence israélienne NRG, la cour a qualifié la promesse de se marier de contrat où un défaut entrainerait la partie défaillante à payer à la partie lésée une indemnité pour préjudice matériel et immatériel.
A noter que les jeunes gens sont des représentants de la communauté juive ultra-orthodoxe et se sont rencontrés grâce à une agence matrimoniale. Quelques mois après la rencontre, la jeune fille et le jeune homme ont décidé de se marier.
Mais après les fiançailles, deux semaines avant la date du mariage, la promise a changé d'avis. Cependant, le couple avait déjà réservé une salle de bal, imprimé des invitations, fait des tests génétiques, acheté des meubles et des appareils ménagers. La plupart des dépenses ont été payées par le fiancé.
Le tribunal a souligné qu'il ne pouvait pas imposer à la promise de garder sa promesse de se marier, en admettant toutefois qu'elle s'était comportée d'une façon frivole, forçant son fiancé à engager des coûts financiers importants.