Les autorités norvégiennes comptent envoyer en Russie près de 300 réfugiés possédant un visa à entrées ou un permis de séjour russe. Plusieurs d’entre eux se trouvent dans le camp de réfugiés de la ville de Kirkenes, d’où ils seront envoyés en Russie.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovLes autorités norvégiennes ont préparé des listes pour l’expulsion vers la Russie de 280 réfugiés qui possèdent des visas ou des permis de séjour russe.
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Les autorités norvégiennes ont préparé des listes pour l’expulsion vers la Russie de 280 réfugiés qui possèdent des visas ou des permis de séjour russe.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovCes réfugiés ont vécu en Russie pendant plusieurs mois ou même des années avant de décider de partir en Norvège.
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Ces réfugiés ont vécu en Russie pendant plusieurs mois ou même des années avant de décider de partir en Norvège.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovSelon la police norvégienne ils ont fait ça non pas sous l’influence de la crainte pour leurs vies, mais seulement de la volonté d’améliorer les conditions. Par conséquent, dans l’asile leur a été refusé.
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Selon la police norvégienne ils ont fait ça non pas sous l’influence de la crainte pour leurs vies, mais seulement de la volonté d’améliorer les conditions. Par conséquent, dans l’asile leur a été refusé.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovPrès de 80 réfugiés se trouvent actuellement dans la ville de Kirkenes, d’autres réfugiés se trouvent dans d’autres centres, mais ils pourront être expulsé à tout moment de la Norvège vers la Russie.
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Près de 80 réfugiés se trouvent actuellement dans la ville de Kirkenes, d’autres réfugiés se trouvent dans d’autres centres, mais ils pourront être expulsé à tout moment de la Norvège vers la Russie.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovMardi, le 19 janvier, un premier bus avec 13 rapatriés est arrivé à Mourmansk et à Novossibirsk. Ils étaient tous envoyés dans d’autres régions de la Russie.
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Mardi, le 19 janvier, un premier bus avec 13 rapatriés est arrivé à Mourmansk et à Novossibirsk. Ils étaient tous envoyés dans d’autres régions de la Russie.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovEncore près de 30 réfugiés devraient se rendre en Russie. Pourtant, suite aux bagarres, leur départ a été annulé. Depuis ce moment, la déportation des réfugiés vers la Russie est suspendue.
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Encore près de 30 réfugiés devraient se rendre en Russie. Pourtant, suite aux bagarres, leur départ a été annulé. Depuis ce moment, la déportation des réfugiés vers la Russie est suspendue.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovActuellement, la Norvège discute de la possibilité d’envoyer les réfugiés par avions – le camp de Kirkenes est situé près de l’aéroport de la ville. Il dispose aussi de son propre aéroport à Mourmansk.
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Actuellement, la Norvège discute de la possibilité d’envoyer les réfugiés par avions – le camp de Kirkenes est situé près de l’aéroport de la ville. Il dispose aussi de son propre aéroport à Mourmansk.
© Sputnik . Dmitry Vinogradov / Accéder à la base multimédiaPendant les trois mois d’automne, environ 5.500 réfugiés, notamment de Syrie, d’Afghanistan, de Pakistan, d’Iran, d’Irak, de l’Inde et de Népal, sont venus à la Norvège à travers la Russie.
Pendant les trois mois d’automne, environ 5.500 réfugiés, notamment de Syrie, d’Afghanistan, de Pakistan, d’Iran, d’Irak, de l’Inde et de Népal, sont venus à la Norvège à travers la Russie.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovLa plupart d’entre eux ont utilisé des vélos, achetés auprès des habitants, puisque le passage terrestre au point de contrôle russo-norvégien est interdit.
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La plupart d’entre eux ont utilisé des vélos, achetés auprès des habitants, puisque le passage terrestre au point de contrôle russo-norvégien est interdit.
© Sputnik . Dmitriy VinogradovDes avocats norvégiens se sont adressés à la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg en insistant sur la nécessité d’intervenir et d’arrêter la déportation tant que les réfugiés ne sont pas en mesure de former un recours contre le refus.
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Des avocats norvégiens se sont adressés à la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg en insistant sur la nécessité d’intervenir et d’arrêter la déportation tant que les réfugiés ne sont pas en mesure de former un recours contre le refus.