Les pays européens concernés ne sont pas en mesure d'absorber autant de réfugiés, indique le quotidien britannique The Telegraph.
"L'expérience internationale de la gestion des migrants économiques montre que ces derniers reçoivent un salaire moins élevé que les travailleurs locaux, même si cette différence diminue avec le temps. La lenteur de leur intégration résulte de facteurs tels que la faible connaissance de la langue, le manque de compétences professionnelles et les obstacles à la recherche d'un emploi", indique le FMI dans sa prévision.
"Nous avons deux mois tout au plus pour prendre le contrôle de ce processus", a déclaré M. Tusk cité par The Telegraph.
"Le sommet du Conseil européen prévu au mois de mars sera la dernière chance de mettre en place notre stratégie. Si nous n'y arrivons pas, nous serons confrontés à des conséquences extrêmement graves, telles que la chute de l'espace Schengen", a conclu Donald Tusk.