Selon les rapports de police, le dernier festival a eu lieu sans incident en août 2015. Néanmoins, une enquête réalisée par le journal suédois Dagens Nyheter a révélé que la police cachait plusieurs plaintes, à savoir celles pour harcèlement sexuel contre les femmes — ou plutôt de jeunes femmes et même des adolescentes — festivalières de We are Sthlm.
"Les plus jeunes des victimes étaient âgées de 11-12 ans. Je n'aurais jamais permis à ma fille d'y aller, si j'avais su ce qui se passait là", s'est exclamé un des 50 officiers de police qui étaient présents au Festival.
Sachant que des incidents similaires ont eu lieu l'année passée, il devient intéressant de savoir les motifs de la police suédoise. En étudiant les données de l'enquête, il devient clair que les crimes ont été commis par de jeunes étrangers venus en Suède sans parents, à savoir des refugiés.
"C'est un moment très délicat. Nous n'osons pas dire certaines choses pour que cela ne fasse pas le jeu des Démocrates suédois (Parti de droite en Suède qui se prononce contre l'accès des migrants au pays, ndlr)", a déclaré le chef de police Peter Ågren.
En cachant l'information sur les agressions sexuelles perpétrées par des migrants, qui la police cherche-t-elle à "blanchir"? La question est certes tout à fait rhétorique…
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