"Bien entendu, je ne rejette pas de mesures supplémentaires si nos responsables en matière de sécurité nationale décident que de nouvelles sanctions sont utiles pour réagir dans ce domaine", a annoncé le porte-parole.
Selon l'agence Reuters, M.Earnest a également fait remarquer que plusieurs responsables iraniens, liés au lancement par l'Iran d'un missile à longue portée, se trouvaient déjà sous sanctions américaines.
La Commission d'experts des Nations unies avait auparavant annoncé que l'Iran avait lancé un missile à longue portée en octobre dernier en violation de la résolution du Conseil de sécurité de l'Onu, rappelle Reuters. Les experts ont soumis un rapport sur cet incident au Comité des sanctions contre l'Iran.
Le 14 juillet dernier, l'Iran et les 5+1 sont parvenus à un accord historique sur le règlement du problème nucléaire. Des négociations des plus compliquées ont abouti à l'adoption d'une feuille de route dont l'application permettra de lever les sanctions économiques et financières imposées contre l'Iran par l'Onu, les Etats-Unis et l'Union européenne.