Il y a plus de 60 ans, les partisans de l'adhésion de la Turquie à l'Otan préconisaient que les Turcs pouvaient aider l'Alliance à faire face à l'expansion soviétique, mais c'était un pacte avec le Diable, écrit un observateur du magazine conservateur américain American Thinker.
Le président russe Vladimir Poutine réalise depuis des années des avertissements sur la menace islamiste, mais l'Occident les ignore. Le président français François Hollande a récemment appelé de son côté les pays du monde à s'unir pour combattre l'Etat islamique.
Poutine suscite l'admiration de nombreux Occidentaux car il a une stratégie géopolitique claire et nette. L'Occident a beaucoup plus de points de convergence avec la Russie qu'avec le monde islamique, c'est pourquoi l'Otan devrait réviser ses alliés et inviter la Russie à la rejoindre, en excluant parallèlement la Turquie.