Selon l'un des frères de Salah Abdeslam, celui-ci a préféré renoncer au moment de passer à l'acte, notamment de se faire exploser comme les autres kamikazes du Bataclan et du Stade de France.
"En toute hypothèse, (Salah Abdeslam) ne s'est pas fait exploser lors des attentats de Paris (…). S'il y est mêlé, ça veut dire qu'il a reculé à un moment donné, donc qu'il est une cible pour Daech", mais aussi "pour les forces de police belges et d'Europe puisqu'il est présenté comme l'ennemi public numéro 1", a avancé Nathalie Galant, avocate belge de l'un des frères Abdeslam, interrogée par BFMTV.
Néanmoins, un vaste coup de filet en Belgique n'a pas permis dimanche soir de mettre la main sur Salah Abdeslam, bien que 16 suspects aient été interpellés à Bruxelles.
A cet égard, un certain nombre de médias ont déjà qualifié l'opération d'infructueuse.