La veille, le chef de l'Agence fédérale russe du transport aérien Rosaviatsia Alexandre Neradko a déclaré aux journalistes que l'enregistreur de paramètres du vol de l'A321 avait été décrypté au Caire. Aucun commentaire officiel relatif aux informations obtenues par les experts n'a pas été émis pour le moment. Auparavant, des sources citées par les médias occidentaux affirmaient qu'une attaque terroriste pourrait avoir été à l'origine du crash.
Le Kommersant estime également que le décryptage du second enregistreur qui contient les conversations de l'équipage n'aidera pas non plus à établir les causes du crash. Si l'avion s'est désintégré en l'air en quelques secondes, il est probable que les pilotes n'ont pas pu réagir à la situation, explique le quotidien.
Il s'agit de la pire catastrophe aérienne qui ait frappé la Russie.
La branche égyptienne du groupe djihadiste Etat islamique (EI) a par la suite affirmé sur Twitter être responsable du crash, affirmant avoir agi en représailles à l'intervention russe en Syrie.