De plus, la presse chinoise soutient le thème de l'"internationalisation du yuan et du marché de l'or", entourant d'un contexte anti-américain et anti-dollar la visite du chef de l'État chinois à Londres.
Xi Jinping, la reine d'Angleterre et le premier ministre David Cameron ont donc des choses à se dire. Le dialogue entre Londres et Pékin se développe plus rapidement que Washington ne le voudrait, sachant qu'il y a deux ans ce dernier avait fait pression sur les autorités chinoises par le biais des protestations à Hong Kong. La Chine est en colère. En septembre, Xi Jinping s'est rendu à Washington où il a été accueilli par Barack Obama qui a tenté par tous les moyens d'établir le contact. Au final, le président chinois a simplement décliné la demande délicate du fondateur de Facebook Mark Zuckerberg d'inventer un nom chinois pour sa fille qui naîtra bientôt.
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