Les propositions de Paris et Berlin seront "soumises" le 14 septembre à un conseil des ministres de l'Intérieur de l'UE, avant un sommet européen, a-t-il précisé cité par l'AFP.
Interrogé sur des déclarations de Mme Merkel qui a évoqué jeudi des "quotas contraignants" au sein de l'UE pour l'accueil des réfugiés, le président Hollande n'a pas employé cette expression, préférant parler d'un "mécanisme".
"Aujourd'hui, nous parlons de 100.000. Il est donc tout à fait nécessaire d'avoir un mécanisme qui puisse prendre la situation de chaque pays européen pour voir ce qu'il est possible de réserver comme accueil dans ce pays-là en fonction de ses caractéristiques", a-t-il détaillé.
"Il ne s'agit plus de s'attacher à des mots, il s'agit de sauver des vies", a enchaîné le président français.