"D'après la norme générale, les journalistes font partie de la population civile. Ils peuvent néanmoins appartenir à des forces militaires, accompagner des forces militaires ou être des participants ordinaires d'un conflit", lit-on dans le document cité par l'AP.
D'après le droit international, les participants d'un conflit non protégés par une loi spécifique ne sont pas protégés par les Conventions de Genève et ils peuvent alors être interpellés pour une durée indéterminée sans procédure judiciaire préalable.
Le Pentagone estime que l'application de ces règles pourrait aider à lutter contre les terroristes et les espions qui se servent du journalisme comme couverture. Dans le même temps, le ministère de la Défense a précisé que ces nouvelles règles n'étaient que facultatives.