Il sera désormais permis de refuser un nom de code ou de mentionner son lieu de travail pour la plupart des employés du BND, a rapporté samedi le journal allemand Der Spiegel.
Toutefois, ces nouvelles règles ne concernent pas ceux qui sont soumis à un risque lié à leur travail, comme, par exemple, ceux qui travaillent à l'étranger.
"Nous serons ouverts là où cela est possible", indique le document.
Une telle initiative fait partie d'une campagne, établie par le chef du BND, Gerhard Schindler, visant à augmenter la transparence.