Selon l'ancien gouverneur de Floride, l'application de la torture est justifiée lors d'interrogatoires visant à obtenir des informations relevant de la sécurité du pays.
De surcroît, M. Bush a soumis à la critique la décision de l'administration de George W. Bush de dissoudre l'armée irakienne. Selon Jeb Bush, son grand frère le considère lui aussi comme une erreur.
M. Bush a également appelé le président des Etats-Unis, Barack Obama, à une politique plus agressive envers le groupe terroriste Etat islamique. Il s'est notamment prononcé pour l'utilisation des forces spéciales.
Les premières informations sur la pratique de la torture dans les prisons américaines pour les terroristes ont commencé à apparaître dès 2004. Après la prise de fonctions de M. Obama en 2009, le nouveau président a interdit de telles méthodes et a initié des poursuites judiciaires contre les auteurs de tortures qui ont pris fin en 2012.
En 2014, lors d'une audition à Genève devant le Comité de l'Onu contre la torture, les Etats-Unis ont reconnu "avoir franchi la limite" dans les techniques d'interrogatoire utilisées après les attaques terroristes du 11 septembre 2001.