Un haut responsable affirme que les courriels privés de "tous les hauts fonctionnaires de la sécurité nationale et de responsables commerciaux" ont été ciblés.
Les hackers ont également piraté des carnets d'adresses électroniques de hauts gradés et les utilisaient par la suite pour envoyer des programmes malveillants à leurs amis et collègues.
Le premier cas d'interception de correspondances officielles a eu lieu en avril 2010, puis le piratage chinois s’est prolongé jusqu'à présent.
Hillary Clinton, ancienne secrétaire d'État sous le premier mandat d'Obama et candidate démocrate en tête dans les sondages, a déjà blâmé la Chine de vouloir "pirater tout ce qui ne bouge pas".