Suite à la prise de contact avec des recruteurs de l'EI via les réseaux sociaux sous de faux profils, elles leur disaient qu'elles ne pouvaient pas se déplacer en Syrie faute d'argent.
Les recruteurs de l'EI, toujours à l'affût de nouveaux volontaires prêts à rejoindre les rangs du groupe, leur transféraient de l'argent. Pourtant, une fois les sommes en poche, les arnaqueuses en herbe supprimaient leurs profils et en créaient de nouveaux, répétant le schéma encore et encore.