Le texte de la résolution dit que "pour préserver la paix et une coopération amicale entre les pays et les communautés, il importe que des égarements historiques de cette ampleur soient reconnus. Bien que ces violences aient été commises par le gouvernement ottoman de l’époque, il est déplorable et inquiétant que la Turquie refuse de reconnaître l’historicité du génocide arménien".
De plus en plus de parlements prennent l’initiative de reconnaître officiellement le génocide. En 2006, l’Assemblée nationale française a reconnu le caractère génocidaire des faits aussi que le Conseil de l’Europe et les parlements des Pays-Bas, de l’Argentine, de l’Arménie, du Canada, de Chypre, de la Grèce, de l’Italie, du Liban, de la Pologne, de la Russie, de l’Uruguay, de la Suède et de la Suisse.
Les gouvernements turcs successifs n'ont jamais voulu reconnaître le génocide arménien. Le sujet reste sensible en Turquie ce qui suscite des tensions entre Ankara et Erevan.