Cette rencontre, organisée au lendemain du référendum, s'inscrit dans le cadre de la coopération permanente entre la France et l'Allemagne pour contribuer à une solution durable en Grèce", précise l'Elysée dans un communiqué.
Selon de premiers sondages par téléphone dimanche en Grèce, le non au plan des créanciers l'emporterait au référendum initié par le gouvernement grec d'Alexis Tsipras.
Le scrutin porte sur la dernière proposition de réformes formulée par les créanciers du pays (BCE, UE, FMI).
Les résultats semblent néanmoins serrés. Un sondage de la chaîne Star donne au non une fourchette entre 49% et 54% contre 46 à 51% au oui. La chaîne Mega donne entre 49,5% et 53,5% au non et entre 46,5% et 50,5% pour le oui. Le gouvernement du Premier ministre de gauche radicale Alexis Tsipras a prôné le non, rapporte l'AFP.