La plupart des Grecs répond « non » aux propositions des créanciers, selon des sondages réalisés à la sortie des urnes.
La différence entre le « non » gagnant et le « oui » est de 7-8 %, d'après une étude, et de 4%, d'après une autre.
« La victoire du « non » est évidente », selon une source qui a présenté les résultats des sondages.
Les experts estiment néanmoins que les résultats du vote peuvent changer dans l'après-midi.