Si l'accueil massif et irrationnel à bien des égards des migrants africains pose déjà beaucoup de questions — laissons donc tomber le prêchi-prêcha pseudo-humaniste du PS — les raisons pour lesquelles ces flux ont considérablement et soudainement gagné en importance restent tout à fait mystérieuses… à moins de revenir bien en arrière en mêlant Histoire à « conspirologie ».
Notons préalablement ceci:
— Comment motiver le fait que des dirigeants sains d'esprit, conscients du danger que sous-tend l'impossibilité de contrôler les identités de ces personnes derrière lequelles se cachent des combattants de l'EI, se cassent la tête pour répartir équitablement les quotas entre les pays de l'UE qui n'ont pas encore fait naufrage tout en constatant, pour la France, que la courbe du chômage ne s'inverse pas et tout en continuant à resserrer les sangles d'une austérité impliquée par un euro surévalué et une dette explosive? Désolée, mais ça sent la schyzophrénie à plein nez. Sauf que nos dirigeants ne sont pas schyzophrènes et que la réalité semble être bien différente.
Secundo, comment ne pas se souvenir de la vieille théorie d'un penseur extrêmement influent, inspirateur du paneuropéisme, le comte Richard de Coudenhove-Kalergi, qui dans son Praktisher Idealismus (1925) a clairement énoncé ce que devait être l'Europe en perspective: un chaudron multinational, privé de Mémoire historique, dont les populations seraient de fait même plus faciles à manipuler. Pour ce faire, Coudhenove-Kalergi appelait à ramener dans tous les pays d'Europe des migrants d'origine africaine. Que de coïncidences, nom d'une pipe!
L'Europe est envahie. A qui la faute? Aux adeptes sectaires d'un mondialisme jusqu'au-boutiste.
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