La chancelière allemande Angela Merkel reste pour la cinquième fois d'affilée la femme la plus puissante du monde, selon la liste annuelle de Forbes publiée mardi, la chef de la Banque centrale de Russie Elvira Nabioullina est entrée de nouveau au top-100 du magazine américain.
La présidente de la Banque centrale des Etats-Unis (Fed) Janet Yellen y occupe la 4e place.
Les dix premières positions sont occupées entre autres par la Française Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international (FMI), à la 6e place, la présidente brésilienne Dilma Rousseff qui y est la 7e et l'épouse du président américain Barack Obama — Michelle (10e place).
La chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini (36e place) et la première ministre polonaise Ewa Kopacz (40e place) sont entrées pour la première fois au top-100 des femmes les plus influentes de la planète.
La chef de la Banque centrale de Russie Elvira Nabioullina est passée cette année de la 72e à la 71e place.
Les 100 femmes les plus puissantes du monde travaillent dans la technologie, la politique, les affaires, la finance, les médias, le monde du spectacle, dans des organisations caritatives ou sont milliardaires. Leur puissance a été déterminée par Forbes en fonction de leur argent, de leur puissance médiatique, de leur impact et de leurs sphères d'influence.