"Présenter la Russie comme une menace me semble absurde", a-t-elle déclaré.
Selon elle, il convient de redouter particulièrement ceux qui tentent de présenter certains pays comme des épouvantails.
"Certains se sont retrouvés pris au piège, même s’ils déclarent que la guerre froide est terminée et que la confrontation est terminée (…). Ils sont pris au piège d’une logique binaire, dans laquelle il faut toujours avoir un ennemi ou un adversaire afin d’exister et d’avoir la possibilité de dominer", a-t-elle souligné.
La présidente de la République argentine, Cristina Kirchner, a réalisé une visite officielle de trois jours dans la capitale russe.
Dans leur Stratégie de sécurité nationale publiée début 2015, les Etats-Unis classent la Russie, l'Etat islamique et la fièvre hémorragique Ebola parmi les menaces globales à contrer.