Selon lui, la rencontre portera principalement sur la sécurité énergétique des pays intéressés.
"Cinq pays procéderont à un échange de vues sur la question de savoir s'ils sont prêts à réaliser le projet de gazoduc Turkish Stream, c'est-à-dire un projet prévoyant la mise en place d'un nouveau réseau d'approvisionnement de la région en gaz", a déclaré M. Dacic.
En contrepartie, Moscou a décidé de construire un gazoduc qui relierait la Russie à la Turquie également par le fond de la mer Noire. D'une capacité de 63 milliards de mètres cubes de gaz par an, ce pipeline baptisé Turkish Stream doit aboutir à la frontière turco-grecque pour alimenter un hub gazier dont la construction est également prévue.
Le nouveau gazoduc sera opérationnel à partir de décembre 2016.