Malgré les tentatives de l'Occident de persuader le monde de la morosité de la vie en Crimée un an après sa réunification avec la Russie, la péninsule peut être considérée comme prospère par rapport à l'Ukraine voisine, estime le journaliste américain Tony Cartalucci, spécialiste en géopolitique.
M.Cartalucci rappelle que tout au long de l'année écoulée depuis le rattachement de la Crimée à la Russie, les pays de l'Otan ne cessent de dénoncer l''invasion" et l'"occupation" de la péninsule. Pourtant, le référendum criméen et tous les événements de mars 2014 n'ont rien en commun avec les invasions de l'Otan dans d'autres pays, qui ont causé des centaines de milliers de victimes civiles et la destruction de villes et de villages. Le monde est précisément habitué à ce genre d’agressions menées par l'Occident, quand des troupes sont introduites dans des pays souverains, séparés des Etats-Unis par des océans, et dont la population proteste contre la présence de militaires étrangers sur son sol.
Et de conclure que la Russie n'avait pas recouru à la violence pour faire entrer la Crimée en son sein.