Crash : vaste opération de recherche dans les Alpes

Une boîte noire de l'avion a été endommagée, mais il est toutefois possible d'en obtenir des informations, selon le ministre français de l'Intérieur.

Les survols par hélicoptères des lieux de la catastrophe ont été suspendus à la tombée de la nuit et ont repris mercredi matin.

Le crash s'étant produit en haute montagne, il sera difficile de rassembler et d’analyser tous les éléments de l'avion.

Cinq gendarmes ont été acheminés par hélicoptère pour sécuriser la zone du drame pendant la nuit.

Des leaders européens ont déjà commencé à se rendre sur les lieux de la tragédie.

La compagnie aérienne Lufthansa, propriétaire de Germanwings, estime qu’il s’agit d’un accident.

A en juger par le caractère de la catastrophe, les débris de l'avion étant disséminés sur une grande surface, il n'y a aucun espoir de retrouver des survivants.

Selon les dernières informations, le crash a fait 150 morts.

Des mesures ont été prises pour l'hébergement et l'accueil des familles des victimes, avec en particulier "un très grand nombre de psychologues" déployés, selon les autorités françaises.

Des Moscovites apportent des fleurs à l'ambassade allemande en Russie en signe de deuil pour les victimes du drame.

Un Airbus A320 de la compagnie Germanwings effectuant la liaison Barcelone – Düsseldorf s'est écrasé mardi dans les Alpes-de-Haute-Provence, près de la ville de Barcelonnette, sans laisser de survivant.
La plupart des victimes étaient espagnoles et allemandes. Parmi les autres nationalités, il y avait deux Argentins, un Américain, un Colombien, un Mexicain, un Belge, un Marocain et deux Australiens.