D'après le Centre américain de surveillance des sites islamistes (SITE), un groupe qui se présente comme la "Division des hackers de l'EI" a mis en ligne les noms et adresses supposés de 100 membres de différents corps de l'armée américaine, accompagnés de photographies.
Le département américain de la Défense et le FBI ont déclaré au NYT être informés de ces menaces et enquêter sur l'incident. D'après une source militaire citée par le quotidien, les informations publiées par l'EI sont pour la plupart accessibles au public et les serveurs du gouvernement ne semblent pas avoir été piratés.
Ces derniers mois, plusieurs médias et institutions américaines ont été piratés par des hackers se réclamant de l'EI. En janvier, ils ont brièvement pris le contrôle des comptes Twitter et YouTube du commandement militaire américain au Moyen-Orient (Centcom).