La Commission européenne ne voit pour le moment aucune possibilité d'augmenter les livraisons de gaz "en flux inversé" à l'Ukraine, a annoncé jeudi Maros Sefcovic, vice-président de la Commission européenne en charge de l'Union énergétique.
A l'heure actuelle, ce schéma est utilisé pour acheminer du gaz vers l'Ukraine depuis la Hongrie, la Slovaquie est la Pologne.
"Je pense que ces trois pays travaillent à plein régime, et je ne vois pour le moment aucune possibilité d'ajouter d'autres flux inversés de gaz à ceux qui sont déjà utilisés pour alimenter l'Ukraine", a déclaré le vice-président de la Commission européenne.