"Merkel a accepté la politique de sanctions car il s'agit d'une alternative pacifique à la solution militaire défendue par Washington", écrit l'analyste cité par Russia Insider.
La politique de Washington reste dominée par le "parti de la guerre" qui appelle à livrer des armes aux autorités de Kiev confrontées selon lui à l'agression russe. Dans le même temps, en Europe, Angela Merkel et François Hollande sont considérés comme une "équipe de rêve" après la dernière réunion de Minsk.
Le 12 février à Minsk, les pays faisant partie du "format Normandie" (Russie, Ukraine, France et Allemagne) ont signé un texte destiné à mettre un terme au conflit dans le Donbass. L'accord engage notamment l'armée ukrainienne à retirer ses armes lourdes de la ligne de confrontation actuelle et les insurgés, de la ligne fixée dans les accords de Minsk de septembre 2014.