Le communiqué indique notamment que les journalistes d'Euronews passent sous silence les faits relatifs à la mort des habitants civils tués dans des bombardements de l'armée ukrainienne.
Le ministère déplore également le fait que « les conclusions de l'OSCE qui démentent les affirmations anticipées de l'Occident sur la culpabilité des miliciens pour le bombardement d'un bus près de Volnovakha ont été, de fait, laissées sans attention suite à la tendance générale ».