Cinq Tunisiens, un Turc, un Egyptien, un Marocain et un Pakistanais ont été expulsés, a déclaré le ministre lors d'une conférence de presse. Il s'est dit «certain que d'autres expulsions allaient suivre».
Il a indiqué qu’une centaine de personnes étaient étroitement surveillées et soupçonnées de sympathie pour les «activités jihadistes et terroristes», voire de s'apprêter à y prendre part.
« Nous faisons face à une menace imminente qui peut être portée n'importe où dans notre continent. Face à ce danger potentiel, nous avons relevé la sécurité au niveau le plus haut », a-t-il ajouté.
« C'est un travail qui doit nécessairement être mené dans l'ombre, mais croyez-moi, il est mené sans relâche, contre le terrorisme et pour défendre notre démocratie et notre liberté », a encore déclaré le ministre de l'Intérieur.