Halligan note que l'économie russe est en fait assez forte : les réserves de change de la Russie dépassent 400 milliards de dollars, et la dette nationale du pays est un des plus bas dans le monde.
En outre, le gouvernement russe a répondu correctement dans son ensemble à la chute de la monnaie nationale, estime l’économiste britannique.
« Il est clair que l'Amérique et l'Union européenne ont imposé des sanctions pour limiter le fonctionnement économique de la Russie. Mais, devrions-nous vraiment se réjouir de faillite de l'une des plus grandes économies dans le monde ? », a écrit Halligan.