Les sanctions ne visaient pas à faire payer la Russie pour la réunification avec la Crimée, mais pour la volonté du pays de se maintenir en tant que nation et civilisation, a déclaré jeudi le président russe Vladimir Poutine lors de sa grande conférence de presse annuelle.
"Non, ce n'est pas le prix à payer pour la Crimée, c'est le prix de notre volonté naturelle de rester une nation, une civilisation, un Etat", a répondu le chef de l'Etat à la question de savoir si la situation actuelle de l'économie russe était le "prix à payer pour la Crimée".