Le fait que les victimes ont refusé d'avoir une relation intime avec les militants est devenu la cause de ce massacre. Les morts étaient enterrés dans des fosses communes.
En outre, selon le ministère, les extrémistes ont transformé l’une des mosquées de la ville en une grande prison qui héberge une centaine d'hommes et de femmes qui tentaient de résister aux actions du groupe terroriste.