Des étrangers, y compris les citoyens de l'Egypte, du Liban et de l'Afghanistan figurent parmi eux.
Selon le ministère, les suspects ont à plusieurs reprises essayé de saper la sécurité et la stabilité de l'Etat.
Certains d'entre eux sont accusés de financement, de recrutement, de promotion, ainsi que de fabrication d'explosifs pour les terroristes.