L’ancien chef de l'Égypte, ainsi que l'ancien ministre de l'Intérieur Habib al-Adli, ont été reconnus non coupables par le tribunal samedi dans le cas de la mort des manifestants pendant la révolution du "25 janvier 2011".
Cela a suscité un grand mécontentement non seulement de proches des victimes, mais aussi de nombreux représentants de la jeunesse libérale. Ils ont déclaré qu'ils continueraient les protestations jusqu'à ce que le verdict soit révisé.