Selon les extrémistes de l’EI, un attentat à la vie des militaires a été réalisé par les « unités ayant juré allégeance au groupe ». Les terroristes ont averti que cela n’était « que le début ».
Trois personnes, dont un général de brigade égyptien et un soldat l’accompagnant, ont été tués dans les émeutes du 28 novembre.