Le dirigeant russe a fermement condamné « ce crime barbare » et a exprimé sa conviction que ses exécuteurs et ses commanditaires devraient être punis.
Samedi également, le ministère russe des Affaires étrangères a condamné l'attaque, la qualifiant d’« action inhumaine qui n’a aucune excuse ».
Trois explosions ont retenti le 28 novembre dans la ville nigériane de Kano près d’une mosquée, où des croyants se réunissaient pour participer à la prière du vendredi. Selon des rapports récents, 120 personnes sont devenues victimes d’attaques, encore 270 ont été blessées.