"Ce sont les Calédoniens qui auront le dernier mot", a déclaré le chef de l'Etat, ajoutant que Paris accepterait n'importe quelle décision des insulaires, rapportent les médias français.
Selon M.Hollande, le référendum sur l'indépendance de ce territoire français d'outre-mer sera organisé à la date, "choisie par le Congrès local", en 2018 au plus tard.
Quoi qu'il en soit, les Calédoniens sont aujourd'hui profondément divisés en deux camps ennemis (loyalistes et indépendantistes). Environ 60 % des Calédoniens souhaitent rester dans la France. Pendant l'actuelle visite du président français, plusieurs milliers de partisans du maintien du territoire dans la République manifestaient à Nouméa sous le slogan "Restons Français".