Des sources proches du dossier, cités par le journal, ont confirmé cette information, indiquant que 550 marins russes qui constituent le futur équipage du Vladivostok, le premier des deux porte-hélicoptères construits aux chantiers navals de Saint-Nazaire, n’ont plus le droit de monter à bord du navire depuis ce lundi.
Cependant, aucune mesure spécifique n’a été mise en place pour faire appliquer cette consigne, note le quotidien.