Ban Ki-moon a exhorté les parties impliquées dans cette campagne à respecter le droit international humanitaire.
Ban Ki-moon était « au courant du fait que des frappes aériennes n’ont pas été réalisées à la demande directe » de Damas. « Mais le gouvernement a été informé d'elles », a-t-il dit. Le secrétaire général juge également que les régions, attaquées par les États-Unis et leurs alliés n’étaient pas « sous le contrôle du gouvernement syrien ».