Il s’agitait d’Aaron Kosminski, un immigrant polonais, qui a sévi dans le quartier de Whitechapel à Londres à l’automne 1888.
L’enquête du journal se base sur l’enquête réalisée par l’homme d’affaires britannique de 48 ans, Russel Edwards, qui est parvenu à une telle conclusion grâce à l’analyse de deux codes ADN retrouvés sur le châle de l’une des cinq victimes éventuelles de Jack l’Eventreur. Pour réaliser cette enquête, l’homme a fait appel aux services d’un expert en analyse génétique, Jari Louhelainen, qui collabore avec Interpol. Edwards a acheté ce châle lors d’une vente aux enchères, car celui-ci se trouvait à proximité de l’une des victimes de Jack l’Eventreur, Catherine Eddowes.
En contactant un descendant de Catherine Eddowes et celui d’Aaron Kosminski, l’enquêteur a pu établir des liens entre la victime et l’assassin présumé.
A l’époque Aaron Kosminski avait été effectivement interrogé par Scotland Yard, mais les enquêteurs avaient très peu d’éléments contre lui. Kosminski, mentalement gravement malade, a été confié par la suite à un asile psychiatrique pour le reste de sa vie.