Leurs actifs seront gelés, et les visas ne seront pas délivrés à ces personnes.
Ces décisions ont été prises à la demande des chefs des Etats et des gouvernements de l'UE, qui se sont réunis lors d’un sommet le 16 juillet dernier.
La décision politique d'étendre la liste des sanctions et des mesures contre la Crimée était adoptée par les représentants permanents des pays de l'UE lors d’une réunion mardi. Mercredi, le Conseil a approuvé les sanctions par procédure écrite. Désormais la «liste noire» comprend 95 personnes et 23 entités juridiques.