Les militants des deux organisations soulignent que les fonctionnaires américains sont de plus en plus prudents en discutant avec les journalistes, « car tout échange d’information, qu’il s’agisse d’une correspondance par courrier électronique ou d’une discussion par téléphone, risque de laisser des traces qui pourraient par la suite être utilisées contre eux. »
Selon les organisations de la défense des droits de l'Homme, les programmes de surveillance américains sortent du cadre de la garantie de la sécurité nationale.